Vous rêvez d'un sommeil réparateur ?
On raconte que les bergers sont les personnes qui s’endorment le plus facilement au monde. Pourquoi ? Parce qu’ils comptent leurs moutons. Cette histoire est stupide, n’est-ce pas ?
Eh bien pas tant que ça : en effet, compter fait appel à notre cerveau gauche : le cerveau de la logique, du calcul, de la rationalité.
Or la plupart du temps, c’est notre état émotionnel qui nous empêche de nous endormir. Nos émotions sont produites, elles, par notre cerveau droit : le cerveau de la créativité et de l’imagination.
Si vous avez du mal à vous endormir, il est probable que vous avez des inquiétudes à propos d’un problème rencontré dans la journée, d’une situation que vous vivez.
Que vous êtes dans une phase de productivité créatrice. Ou que vous avez l’habitude de vous inventer des scénarios catastrophe à propos de tout et de rien.Votre cerveau droit est en surexcitation permanente.
Utiliser votre cerveau gauche est le meilleur moyen de rétablir la balance.
Comment ? En comptant par exemple.
Vous pouvez bien sûr compter n’importe quoi !!! Mais attention, votre cerveau droit est tellement puissant qu’il peut malgré tout surpasser votre stratégie de comptage.
Pour cela, il suffit de décompter au lieu de compter ! Votre cerveau gauche sera alors plus sollicité et rétablira le calme dans vos émotions.
L’astuce d’aujourd’hui peut donc vous aider dans beaucoup de circonstances de votre vie, pas uniquement lorsque vous vous endormez : comptez et décomptez.
Si vous vous trouvez en situation émotionnelle difficile au cours de votre journée : stoppez tout et décomptez lentement de 20 à zéro en visualisant les chiffres pour aider à la concentration. Ou des moutons...
Voulez-vous comprendre tous les rouages de votre sommeil ?
Vous pourrez ainsi vous rendre compte à quel point vous pouvez redevenir maître de vos nuits.
Notre expert Benoit Emond , auteur du guide complet sur le sujet :« Dormez mieux ! Je le veux » est la solution qu’il vous faut. découvrez des astuces géniales pour mieux dormir, vous n'en reviendrez pas, croyez-moi !